sommet

J’ai les yeux sans paupière

A force d’avoir escaladé tes cils

Ils ont de la lumière

Attrapé le haut des cîmes

Au sommet de tes prunelles

Je vois ce qui fait

ce que tu es

tout ce qui me rappelle

l’été Il y a ces nuées

ces collines, et de mes hivers

la chaleur de ton sourire a retiré la neige

de mes glaciers en pleur il ne reste

que de longues ravines

qui partiront en fumées

une fois arrivées dans la vallée

Publié par Jean FAVRE

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